Automatiser la mise en page pour la création d’un catalogue : quels avantages ?


Lorsqu’il s’agit d’initier un projet de création de catalogue produit, un guide, ou tout autre document à forte pagination contenant des informations structurées de manière régulière, il existe une alternative à la maquette manuelle traditionnelle : l’automatisation de la mise en page.
Nous vous proposons aujourd’hui d’appréhender les tenants et aboutissants de cette méthode de création de contenu aux bénéfices indéniables !
Adopter une démarche data centric et anticiper sur le multi-canal
Gérer vos données est la première chose que vous allez faire lors du lancement d’un projet d’automatisation… et c’est là que les choses deviennent intéressantes !
Le fait de se concentrer uniquement sur les données produit dans un premier temps, va vous permettre d’accroître leur qualité.
Explication : Une attention toute particulière va être portée sur les éléments suivants :
– Impact marketing des texte de présentation
– Cohérence dont les informations sont présentés
– Mise en place d’une démarche d’habillage iconographique (pictos, images, etc.)
– Éventuellement associations de produits complémentaires, variantes et cross-selling
Les datas obtenues seront structurées et qualitativement optimisées pour cette utilisation en particulier, mais cela les rendra aussi disponibles pour d’autres vecteurs de communication, dans leur globalité ou en partie : Site web, application mobile, etc.
Le champs d’application est ouvert !!
Améliorer la qualité globale de la création du catalogue
Un projet d’automatisation se déroule en deux phases principales : l’étude et la création graphique du document, puis la phase de réalisation dans laquelle nous injectons les données dans la maquette.
Dans un projet mené de manière traditionnelle, c’est à dire manuelle, nous aurions alloué 80 % du temps projet à la phase de réalisation. En adoptant une démarche de création de catalogue automatisé, nous sommes en mesure de réduire cette allocation de temps à 20% !
Qu’est-ce que cela implique ? Tout simplement que ce process nous offre l’opportunité de prendre beaucoup plus de temps sur la phase créative du document, sur l’attention porté aux objectifs de communication et sur leur impact sur la maquette.
Réduire le Time to Market
Gagner du temps n’est pas forcément l’objectif principal lorsqu’on décide de réaliser un catalogue automatisé, nous dirions que c’est plutôt un bénéfice collatéral. Mais quand même. Initier un process automatisé peut tout simplement permettre de rendre possible la livraison du document en temps et en heure par rapport à une échéance sur laquelle vous n’avez aucun contrôle (salon, séminaire, etc.). L’automatisation permet d’assurer une livraison là où il aurait fallut mobiliser une équipe de graphistes beaucoup plus nombreuse pour un coût décuplé !
De même, au cours de son cycle de vie, le catalogue ou le guide pourront évoluer de manière beaucoup plus rapide que si nous avions un document traditionnel. Cette notion d’optimisation du time to market est vraiment importante, car elle permet à la marque d’être en mesure d’être ultra réactive à tout changement interne (remaniement de la gamme produit, modifications généralisées, etc.) ou toute évolution externe.
Rendre les Catalogues plus flexibles
Considérons un environnement de communication en constante évolution, aussi bien dans les canaux, leur forme que dans les contenus, la marque peut avoir besoin d’adapter ses documents sans pour autant envisager une conception qui repartirait de zéro et engendrer de forts coûts.
Et c’est à ce moment précis où le process automatisé mis en place devient imparable : il suffira de modifier la création graphique du modèle, éventuellement ses règles d’interprétations de données, demander au logiciel de faire une mise à jour et… c’est tout ! C’est fait ! Le catalogue, le guide, enfin bref votre document est prêt à être diffusé à nouveau !
Encore plus immédiat, si vous devez modifier les données produits, en partie ou en globalité, aucun soucis. Encore une fois une simple mise à jour des contenus permettra de répercuter les modifications dans le document. Cerise sur le gâteau, vous n’aurez pas besoin de superviser la phase de modifications, ou d’indiquer au graphiste où se situent les changements opérés, il vous suffira juste de fournir la base de données mise à jour par vos soins !
Optimiser le TCO – Total Cost of Ownership à moyen terme d’un catalogue
Même si, rappelons-le, le prix n’est pas la motivation principale pour s’orienter vers un process de mise en page automatisée, il faut tout de même aborder l’aspect budget, et surtout son élargissement à une notion de coût total de possession (TCO) sur moyen terme.
Pourquoi ?
Souvenez-vous, nous avons écrit plus haut que la création d’un document automatisé comportait une phase de création graphique, de configuration des modèles et enfin d’injection des données pour construire le catalogue. Les deux premières phases, et en particulier de configuration et programmation des modèles, représentent une part importante du budget (autrefois alloué au montage manuel) alors que le budget nécessaire à la phase de montage se trouvera diminuée.
En résumé, la création d’un catalogue automatisé ne coûtera pas moins cher, mais ces coûts seront répartis différemment !
Cette observation est donc valable pour la première édition. Mais qu’en est-il dès que nous envisageons d’autres éditions ? Et bien elles « coûteront » individuellement moins cher, que nous décidions de mettre à jour uniquement les données ou de revoir la maquette du document, le TCO sera donc dégressif dans le temps.
L’adoption d’un process automatisé pour la réalisation de votre guide ou catalogue vous permettra non seulement de profiter d’une optimisation des budgets tout en vous laissant la possibilité de faire évoluer votre document !
Pour voir un exemple de projet d’automatisation :
Otis Technical CatalogueCette article vous a intéressé, vous souhaitez en savoir plus ?
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