Les marches de Cannes… ou presque

Souvenez-vous il y a deux ans, nous vous parlions déjà des Trophées de la Communication. En 2015, nous avions remporté la 3e place dans la catégorie « Meilleure réalisation d’édition réalisé par un organisme privé » pour le Kit Entreprise d’Arjowiggings. Cette année nous sommes à nouveau lauréats dans la même catégorie, l’occasion pour nous de faire une apparition sur la croisette, pour assister à la cérémonie.

Casino royal

En effet, notre brochure pour l’imprimerie Frazier Paris, sublimée par une fabrication soignée et notamment un collage à la chinoise, est récompensée. Direction Cannes (ou plutôt Mandelieu la Napoule) et le Pullman Royal Casino afin de fouler le tapis rouge aux reflets orangés en raison de l’éclairage bleuté installé pour l’occasion.

Les Trophées de la Communication, parlons-en

Pour ceux qui ne connaissent pas ce prix, il s’agit d’un concours national récompensant les meilleurs travaux de communication de l’année. Du print, au web, en passant par le digital et l’évènementiel. Bref, la communication dite 360. Cette année, plus de 800 projets déposés à travers 32 catégories, jugés par 150 professionnels répartis sur toute la France. Sur place, les heureux lauréats de ce cru 2017 se retrouvent pour la soirée de gala afin de connaître leur classement parmi les 5 premiers dans leur catégorie.

Tongui sur son 31

Chaque année, les organisateurs des Trophées de la Communication changent de lieux en privilégiant depuis quelques temps des villes du sud de la France afin de profiter des derniers rayons de soleil. Manifestement ces derniers ne seront pas de la fête. Qu’a cela ne tienne ! A l’intérieur du Casino, dans une ambiance tamisée et cosi, les agences et les annonceurs profitent pleinement de ce moment.

Dans le hall d’entrée un photographe mitraille, je me faufile ensuite entre les groupes, salut des gens que je crois reconnaître et me retrouve emporté par la foule qui me traine et m’entraine vers la salle de réception habillée de rose. Devant moi, la scène se dressent et surplombe les 26 tables rondes où les convives en belle toilette s’apprêtent à festoyer.

Le Marathon démarre

J’attends patiemment mon tour car les projets web et digitaux ont été préféré aux travaux print. Des grands noms se font entendre : Orange, Sephora, La Redoute… C’est en milieu de soirée que notre catégorie a enfin été présenté, et alors que les agences défilent, le cœur commence à s’accélérer jusqu’à ce que… Tongui soit enfin appelé. Et c’est avec honneur que j’ai pu à mon tour gravir les marches de la scène pour recevoir la seconde place. A cela s’ajoute une belle photo entouré des autres lauréats. Pas de discours possible. Dommage. En même temps la soirée aura été interminable vu le nombre de lauréats.

Ainsi file les noms et annonces, les bravos faiblissent tandis que les estomacs se remplissent. Les premiers prix ont la chance d’être présentés de manière plus longue, avec un léger avantage pour les projets vidéos intégralement projetés. Il s’agit certainement du seul véritable regret de cette soirée. Quitte à être entouré d’agences aussi dégourdies et talentueuses, on aurait aimé en savoir plus sur leur approche créative. Seul lot de consolation, nous les retrouvons sur le site des Trophées avec tous les lauréats.

Mon ultime bafouille

En conclusion, je vous livre le mot que j’avais prévu d’improviser :  Il n’y a qu’un seul gagnant dans cette compétition… et c’est le graphisme !

 

 

Trophées de la communication
Edition 2017